Les coulisses secrètes de l’amphithéâtre de Nîmes

Intérieur de l’amphithéâtre avec les installations de chantier.

Intérieur de l’amphithéâtre avec les installations de chantier. © R. Benali, Inrap

L’amphithéâtre de Nîmes est édifié au tout début du IIe siècle de notre ère. Il est l’un des derniers éléments majeurs connus du programme monumental de la ville gallo‑romaine du Haut‑Empire. Sa réalisation s’inscrit dans une période de diffusion à l’échelle provinciale de ce type d’édifice de spectacle, dont les concepteurs devaient être fortement influencés par le récent chantier de la capitale impériale, celui du Colisée, ou celui, plus proche et de peu antérieur, de l’amphithéâtre d’Arles. Des études et fouilles menées en 2019 et 2020 ont permis de mieux cerner ses coulisses souterraines et de questionner la présence d’un édifice antérieur à sa construction.

Dès 1809 et jusqu’en 1812, l’ingénieur en chef des ponts et chaussées Stanislas‑Victor Grangent entreprend le dégagement des maisons médiévales qui occupent l’amphithéâtre et commence quelques restaurations de l’édifice. Il se rend compte que la piste n’est pas uniquement établie sur le substrat géologique local (ou sistre) et qu’elle est parcourue par des structures souterraines comblées par des remblais qu’il dénomme « aqueduc circulaire » (ou euripe) et « église souterraine chrétienne » (pour des murs formant un plan en croix au centre de la piste).

L’apport des fouilles anciennes

Ce bâti en croix n’est que superficiellement dégagé avec juste un sondage pour estimer la hauteur de ces constructions que Grangent considère comme tardives. Au milieu du XIXe siècle, Auguste Pelet, conservateur au musée de Nîmes et inspecteur des Monuments historiques, étudie le plan des murs principaux dégagés par Grangent et propose que ces constructions soient à mettre en relation avec des jeux antiques, les naumachies. Dès 1859, Henri Révoil, architecte diocésain rattaché à la Commission Impériale des Monuments Historiques, commence des travaux de restauration de l’amphithéâtre. Fin 1865, il entame une campagne de dégagement de ses substructions et met au jour deux grandes galeries maçonnées qui se croisent quasiment au centre de la piste. L’aile ouest est perforée par un large puits médiéval. La fouille de Révoil est très (trop) peu documentée et ses carnets ne seront jamais publiés. Ses relevés des constructions sont toutefois exécutés avec précision et les observations qu’il en tire l’amènent à avancer d’autres hypothèses sur l’usage de ces dispositifs souterrains. Il est ainsi le premier à aborder celle des pegmata, qui participent à l’élaboration des spectacles, sans toutefois nier la possibilité de naumachies. L’accès à la salle dite cruciforme se fait sous le sable par une petite trappe et un escalier métallique. Abandonnée, la salle ne fera plus que l’objet de visites d’entretien très ponctuelles. En 1987, une fouille, sous la direction de Marc Célié, archéologue contractuel municipal, est entreprise dans le quart sud‑est de la piste, ce qui représente moins de 8 % de la surface. Elle permet toutefois d’approfondir l’étude des réseaux et des divers aménagements souterrains, et montre que ces derniers, d’une complexité insoupçonnée jusqu’alors, ont été creusés et bâtis dans un laps de temps très court et avec un processus évolutif en plusieurs phases. Ces fouilles, limitées par leur emprise, ont suscité de nombreux questionnements restés sans réponse jusqu’en 2020. De plus, les études n’ont pas pu porter sur l’intérieur de la salle cruciforme en raison de son inondation récurrente.

Cliché des fouilles et restauration de 1866. Fond Magnol, FF14, musée de la Romanité.

Cliché des fouilles et restauration de 1866. Fond Magnol, FF14, musée de la Romanité. DR

Les fouilles de Révoil l’amènent à avancer d’autres hypothèses sur l’usage de ces dispositifs souterrains.

Un monument très bien conservé

L’amphithéâtre, souvent dénommé maladroitement « les Arènes », mot dérivant du type de sable, l’arène, qui couvre la piste, est inscrit depuis 1840 sur la liste des Monuments historiques. D’une contenance de 24 000 spectateurs environ, il est l’un des mieux conservés du monde romain, avec son attique (le troisième étage) préservé presque intégralement et ses nombreux gradins d’origine. Sa sauvegarde est liée à son histoire ; de castrum dans l’Antiquité tardive en passant par le château des Chevaliers jusqu’au XIIIe siècle puis devenant un quartier urbain de la cité de Nismes, il n’est dégagé de toute construction qu’au début du XIXe siècle. 

Vue aérienne de l’amphithéâtre ; au premier plan sur le parvis, le tracé de l’enceinte augustéenne.

Vue aérienne de l’amphithéâtre ; au premier plan sur le parvis, le tracé de l’enceinte augustéenne. © V. Lauras, Inrap

Restaurations et sondages actuels

Malgré des restaurations régulières depuis plus de deux siècles, la conservation régionale des Monuments historiques et la ville de Nîmes, propriétaire du monument, n’ont pu que constater les multiples signes de dégradation de cet édifice, particulièrement due aux infiltrations des eaux pluviales. Un projet de restauration d’envergure a été décidé par la municipalité, cofinancé en partenariat avec l’État, la Région Occitanie, le département du Gard et la Fondation Internationale pour les Monuments Romains de Nîmes. Entre 2009 et 2022, 22 travées de la façade sur les 60 que compte le monument ont été restaurées et l’étanchéité des rangs supérieurs de gradins a été partiellement réalisée, les travaux devant se poursuivre jusqu’en 2034. Ces derniers ont été accompagnés d’une étude archéologique réalisée par l’Inrap afin d’avoir une meilleure connaissance de la mise en œuvre et des savoir‑faire que la construction a nécessités, jusqu’aux stigmates liés aux différents usages postérieurs en tant qu’édifice de spectacle, castrum, lieu de pouvoir ou quartier d’habitations. Enfin, un diagnostic est entrepris en 2015 dans les souterrains sous la piste, situés à une profondeur d’environ 6 m sous le niveau de circulation du parvis, un des points les plus bas de la ville antique, et très régulièrement inondé. Cinq petits sondages ont été complétés par une étude du bâti. Leurs résultats singuliers ont décidé la Municipalité à engager une fouille de ces coulisses durant l’hiver 2019‑2020.  

Intérieur de la salle cruciforme en fin de fouille.

Intérieur de la salle cruciforme en fin de fouille. © R. Pellé, Inrap

Des coulisses envahissantes

Ces coulisses sont très rapidement aménagées. L’étude de bâti a montré que ces souterrains prennent, au tout début du IIe siècle, au moment de la construction du monument tel que nous le connaissons, la forme d’une salle rectangulaire de 20,65 m de long pour environ 6,60 m de large (soit à peu près 136 m2) ; elle était peut‑être séparée en deux du fait de la présence de deux dalles scellées dans les murs nord comportant la même inscription (T. CRISPIVS REBVRRVS FECIT). Elle possède une alcôve carrée centrale au sud de 9 m2 et sans doute un couloir désaxé au nord permettant l’accès au sous‑sol. Des encastrements larges et profonds dans les murs principaux, régulièrement disposés à mi‑hauteur, témoignent d’équipements en bois disparus, probables jalons d’éléments de machinerie. Pendant la deuxième moitié du IIe siècle, avec l’expansion croissante des spectacles dans l’Empire, les besoins en espaces supplémentaires se font sentir et la salle est agrandie. Elle s’étend alors jusque sous les travées 15 et 45, portant sa largeur à 7,65 m. S’ensuit, peut‑être concomitamment, la percée du substrat au nord et au sud, formant ce qui sera la future salle cruciforme. Des ramifications, qui n’ont pu être étudiées dans le cadre de ces fouilles, sont ensuite créées à partir de ces nouvelles extensions, conquérant progressivement une large partie du sous‑sol de la piste. D’autres encastrements de moindre dimension sont ménagés dans les murs, montrant encore parfois l’empreinte des madriers, qui y étaient insérés. Leur nombre, leur faible dimension, leur régularité d’espacement et leur décalage sur chacun des murs opposés laissent supposer qu’il s’agit plus de supports de mobilier (râteliers, étagères par exemple) que de supports de machinerie ou de poutrelles de plancher. H. Révoil a terminé sa fouille sur un niveau qu’il a interprété comme le substrat. Or cette couche recouvrait des sols et des structures variées révélés par le diagnostic et la fouille récente. Les coulisses ayant été régulièrement modifiées, les vestiges conservés sont souvent très lacunaires et difficiles à interpréter, d’autant que la fouille de 1866 en a fait disparaître un grand nombre. Des lambeaux de sols de circulation ont pu être dégagés. Outre de nombreux tessons de lampes à huile, quelques monnaies ont été retrouvées dont la plus récente, un as d’Alexandre Sévère daté de 227 présentant un frai (usure) peu important, indique que les souterrains sont encore en usage vers le milieu du IIIe siècle. Enfin, trois structures rectangulaires (puisards) ont livré un comblement drainant et des dépôts hydrauliques ; ces puisards montrent la récurrence des problèmes liés aux infiltrations des eaux, les coulisses étant l’extrémité du tube du gigantesque entonnoir qu’est l’amphithéâtre. En revanche, une quatrième structure en creux s’est avérée avoir eu une fonction première bien différente.

Pendant la deuxième moitié du IIe siècle, avec l’expansion croissante des spectacles dans l’Empire, les besoins en espaces supplémentaires se font sentir et la salle est agrandie.

Une intrigante fosse

Dès 2004, certains indices laissaient supposer l’existence d’un édifice antérieur à l’amphithéâtre actuel : blocs en grand appareil réemployés dans les fondations ou crampons en chêne, prélevés entre les blocs, provenant d’arbres abattus au début du Ier siècle représentant, proportionnellement au bâti, plusieurs milliers de planches. En 2015‑2016, un sondage, perpendiculaire au grand axe, dans le centre de la salle, avait révélé un creusement profond dans le substrat distant d’environ 1 m des murs sud 2 et 8 dont il semblait parallèle. Son comblement, très aéré, était constitué de cailloutis et galets dont les interstices étaient emplis par une argile plastique grise d’infiltration. Si le principe d’un drain au centre de ce vaste espace semblait acquis, la fouille a modifié sensiblement l’analyse de cette structure. Dans son état final, cette dernière est remblayée, scellée par une couche d’argile pure bariolée au nord et au sud, laissant dégagé un fil d’eau longitudinal large de moins de 2 m. Sa dernière fonction est alors bien drainante. Mais cette même argile sert aussi de semelle de fondation aux murs primaires de la salle rectangulaire sud et ouest, indiquant que le creusement a été réalisé avant leur construction. La fouille de cette énorme fosse de 25,80 m de long a montré qu’elle se développe au‑delà de ces murs avec une orientation strictement alignée sur le grand axe. Ces indices (couche d’argile, surdimension et orientation) attestent la présence d’un monument antérieur, possédant aussi ses propres souterrains ou coulisses, ce qui est confirmé par d’autres découvertes.

Une fonction énigmatique

Cette structure est en effet encadrée par 18 fosses de plan quadrangulaire et par 4 trous de poteau à chaque angle. Le fond de la fosse est creusé d’un quadrillage de tranchées dans lesquelles dix échantillons de fibres de bois ont été prélevés. L’étude xylologique a montré qu’il s’agissait exclusivement de bois d’aulne, un arbre assez rustique, rare en région méditerranéenne, mais qui présente deux caractéristiques essentielles : il est réputé imputrescible et durcit au contact de l’eau. Ses spécificités ont certainement conditionné son utilisation en fond de tranchées. Des analyses au radiocarbone ont donné des résultats homogènes et convergents avec une fourchette chronologique s’échelonnant entre 175 avant notre ère et 84 de notre ère, et six dates ne dépassant pas 29 de notre ère. Ces datations fournissent toutefois un résultat déformé car elles concernent le duramen du bois et non l’abattage de l’arbre. En tenant compte du fait que la longévité de l’aulne est de l’ordre de 100‑150 ans au mieux, on peut estimer que ces arbres ont été abattus entre 10 et 50 de notre ère. Le restant du fond de la fosse, intégralement recouvert d’une couche de sable fin jaunâtre, homogène et peu compact, provenant probablement de la piste, a livré une très grande quantité de mobilier métallique, avec plus de 160 artefacts, tels des clous en fer (souvent pliés vraisemblablement par l’usage d’un pied-de‑biche lors de leur arrachage des pièces de bois où ils étaient enfoncés et mesurant soit 7 à 8 cm soit 14 à 15 cm), des fragments informes ou des languettes à bords réguliers en plomb, deux clous décoratifs à tête globulaire en alliage cuivreux (bronze ou laiton) et des monnaies (un petit bronze tardif de Marseille, daté vers 49 avant notre ère‑25 de notre ère et un demi‑dupondius de Nîmes, daté vers 10‑14 de notre ère, tous deux présentant un frai minime, sans doute perdus durant les années 30 du Ier siècle), mais aussi cinq tessons de céramique dont quatre appartiennent à une même lampe à huile datable entre 15 et 100 de notre ère. Cette grande fosse n’a pas d’équivalence à ce jour dans le monde romain. Il n’y a pas d’éléments de comparaison dans les rares souterrains d’amphithéâtres fouillés malgré les découvertes faites dans le Colisée. La structure de poutraison forme un quadrillage irrégulier. Une hypothèse de sept groupes de poutres transversales peut être avancée formant autant de supports à des constructions en bois. Il s’agit sans doute de monte‑charges ou de systèmes de rampes coulissantes dont la forme, les dimensions, le fonctionnement sont difficilement restituables. L’étude de l’amphithéâtre de Pozzuoli a montré la présence d’un « fossé de scène » central fermé de panneaux coulissants latéralement sous un plancher recouvert du sable de l’arène. Dans le cas nîmois, la grande fosse pourrait reprendre ce « fossé de scène » de Pozzuoli, masquant des plateformes hissées dans l’arène au moyen d’un système de poutres de levage en forme de ciseaux, dissimulées sous un plancher amovible soutenu par des poteaux. Les grands clous sont vraisemblablement des clous de charpente servant à maintenir cette ossature en bois alors que les petits clous ne peuvent convenir que pour des planches d’assez faible épaisseur, peut‑être celles du plancher des plateformes ou de la couverture de la fosse. Quant aux 18 encastrements, ils sont probablement à mettre en relation avec la machinerie de la fosse. Lors de ses fouilles, Révoil avait découvert deux lourds contrepoids en plomb. Pour manipuler ces plateformes, contrepoids et système de poulies devaient être utilisés. Ils auraient été déportés hors de la fosse et de la structure en bois comme dans les restitutions de monte‑charges réalisées au sein du Colisée. À ces aménagements supposés se greffent deux structures en creux situées au nord et au sud de la fosse. Elles ont été interprétées comme des trous de poteau. Leur comblement est similaire à celui de la fosse, sans mobilier. Elles n’ont pas de lien strict avec la grande structure et ne sont pas partie fonctionnelle de la « machinerie ». Elles se situent sans doute dans des extensions disparues de cet état, ce qui pourrait expliquer leur profondeur. Il pourrait s’agir de grands mâts supportant des éléments ornementaux sans qu’il soit possible de dire s’ils sont contemporains de la création des coulisses de ce monument ou s’ils ont été creusés peu après. 

Demi-dupondius de Nîmes trouvé en fond de fosse.

Demi-dupondius de Nîmes trouvé en fond de fosse. © R. Benali, Inrap

Il est vraisemblable que ce premier monument de spectacle dont nous ignorons l’architecture, les dimensions et les capacités d’accueil est détruit pour faire place à l’amphithéâtre actuel qui reprend exactement la même place et la même orientation.

Un amphithéâtre avant les Arènes

En 1987, les sondages réalisés sur la piste avaient révélé un tunnel et un creusement adjacent orientés nord‑sud dans le sistre que le responsable de la fouille n’avait su interpréter mais qui prennent tout leur sens avec la fouille de 2019-2020. Ils devaient servir d’espace de circulation et de manutention, faisant office d’étage technique autour de la fosse où se concentrait probablement exclusivement la machinerie. Pour l’installation de l’amphithéâtre et de la piste actuelle, une gigantesque plateforme est creusée sur environ 1 m de profondeur avec un surcreusement pour l’arène ; l’excavation pour la construction de la salle rectangulaire est logiquement aménagée en conséquence, tronquant ou occultant les coulisses antérieures d’un édifice quasiment effacé du paysage. Leur abandon nous est inconnu mais on constate que la fosse est maintenue ouverte puisqu’elle est réemployée partiellement au moment de la création du premier état maçonné de la salle rectangulaire qui épouse son orientation tout en étant moins longue et moins spacieuse. Il est vraisemblable que ce premier monument de spectacle dont nous ignorons l’architecture, les dimensions et les capacités d’accueil est détruit pour faire place à l’amphithéâtre actuel qui reprend exactement la même place et la même orientation, peut‑être avec une cavea agrandie comme d’autres édifices tels Nocera ou Avenches. La piste est aussi certainement restée inchangée en dimension comme semblent le montrer ses deux axes qui coupent précisément le centre de la fosse. Quelques conjectures sur son aspect peuvent être avancées sur la base de certaines découvertes et réflexions. Plusieurs milliers de planches furent nécessaires pour produire la forte quantité de crampons en chêne datables du début du Ier siècle, indiquant peutêtre que ce monument disparu était construit en bois ou mi‑bois mi‑pierre. Érigé vraisemblablement vers les années 20‑30 du Ier siècle de notre ère, cet amphithéâtre est peut‑être le second en Gaule après l’amphithéâtre des 3 Gaules de Lyon inauguré en 19 de notre ère.  

Levé orthophotogrammétrique de la fosse antérieure dans l’aile est de la salle cruciforme.

Levé orthophotogrammétrique de la fosse antérieure dans l’aile est de la salle cruciforme. © A. Farge, Inrap

Lexique

La naumachie est une représentation d’un combat naval dans un bassin adapté à cet effet. 
Les pegmata sont des platesformes mobiles ou des machineries scéniques.
Un castrum est un lieu fortifié avec une partie seigneuriale et une partie dévolue aux chevaliers.
L’as est l’unité monétaire en cuivre la plus courante au Haut‑Empire.
Un dupondius a valeur de deux as.
La cavea est l’ensemble des gradins qui accueillent les spectateurs.

Pour aller plus loin :
PELLE R., 2017, Nîmes – travaux sur l’Amphithéâtre ; volume III, Salle Cruciforme, Rapport final d’opération de sondages archéologiques, Nîmes, Inrap.
PELLE R., 2018, « L’amphithéâtre de Nîmes dévoile ses derniers secrets », Archéologia, no 570, éditions Faton, p. 38-45.
ELLÉ R., LEFEBVRE C., 2019, Amphithéâtre romain de Nîmes. Investigations et études pour la connaissance archéologique du monument. Marché subséquent no 1 : suivi archéologique des travaux de restauration des travées 43 à 48, volume IV, rapport final d’opération, Nîmes, Inrap.
PELLE R., LEFEBVRE C., 2020, Nîmes, travaux sur l’Amphithéâtre ; volume V, Suivi archéologique des travaux de restauration travée 53 : revers intérieur et travées 54 à 57 : élévations extérieures et revers intérieurs, rapport final d’opération, Nîmes, Inrap.
PELLE R., avec la collaboration de MILLE P.-Fr., 2022, « Les crampons en bois de l’amphithéâtre de Nîmes », dans HIGELIN M., MULOT A. et BEHAGUE B. (dir.), Métal et matériaux périssables : actes des journées d’études, CORPUS, Strasbourg et Sélestat, 21-23 mars 2018, éditions Mergoil, p. 153-178.
PELLE R., WOZNY L., 2022, Nîmes – travaux sur l’Amphithéâtre ; volume VI, Salle Cruciforme, rapport final d’opération, Nîmes, Inrap. https://arenes-webdoc.nimes.fr/